Et voici une lecture d'un genre très différent cette fois !
L'éditeur en parle :
Une île boisée au large de Seattle…
« Au commencement est la peur.
La peur de se noyer.
La peur des autres,
ceux qui me détestent,
ceux qui veulent ma peau.
Autant vous le dire tout de suite :
Ce n’est pas une histoire banale. Ça non.
c’est une putain d’histoire.
Ouais, une putain d’histoire… »
Un thriller implacable
Dès la parution de son premier roman, Glacé, prix du meilleur roman francophone du festival Polar 2011 de Cognac, Bernard Minier rencontre un très grand succès. Ses deux derniers ouvrages, Le Cercle et N’éteins pas la lumière, le confirment comme un auteur incontournable du polar français. Ses romans sont traduits dans quatorze langues.
Ce qui m'a donné envie de le lire :
C'est mon homme qui a entendu parler de ce livre et me l'a conseillé. Bien que n'étant pas une grande fan de polar ou de thriller, j'ai eu envie de tenter cette lecture et bien m'en a pris !
Mon avis après lecture :
Comme je vous l'ai dit, je ne suis pas une fervente lectrice de thriller et cela va peut-être changer grâce à ce livre. J'ai été happée par l'histoire et je n'ai pas pu le lâcher : c'est la définition du page turner ! Même si je dois dire que j'avais deviné assez tôt un élément très important de l'histoire, j'ai été épatée du nombre incroyable de rebondissements et de retournements de situation. La vision qu'on a des personnages doit toujours évoluer au rythme des nouvelles informations habilement distillées et les dernières pages sont tout bonnement stupéfiantes !
Bref, une lecture qui me donne envie de lire d'autres romans de l'auteur.
Quelques phrases :
"L'orque nomade est le plus cruel des mammifères marins mais l'homme nomade est le plus cruel des mammifères tout court."
"Comme je l'ai dit, je rêve de devenir écrivain.
Ou cinéaste.
Ne soyez donc pas surpris par mon langage : je suis juste un jeune homme normalement éduqué, comme tous ceux de mon âge devraient l'être, c'est-à-dire pas tout à fait aussi attardé que ces crétins du lycée qui se sont déchaînés sur Walt Whitman quand le prof de littérature leur a demandé de commenter Feuilles d'herbe. "Bâtard défoncé", "pédé de poète de sa race" ont été quelques-uns des compliments adressés au grand homme par tweets interposés. À part ça (preuve de ma normalité), j'aime les films d'horreur et Nirvana."
"[...] la révolution numérique était en train de bâtir brique par brique le rêve millénaire de toutes les dictatures -- des citoyens sans vie privée, qui renonçaient d'eux-mêmes à leur liberté."
"Chaque foyer a ses règles tacites. Chaque famille est un pays et un gouvernement à lui tout seul, où règnent des lois qui n'ont pas cours dans la maison d'à côté, des dizaines de petites conventions et d'habitudes qui, à l'abri des regards, assurent son unité. Nul doute que la nôtre n'était pas une démocratie."
Alors, allez-vous lire cette Putain d'histoire ?
C'est amusant : je l'ai commencé hier soir ! Je reviendrai te lire dans quelques jours :)
RépondreSupprimerQuelle coïncidence ! J'attends ton avis !
SupprimerBises de Capp
Je crois bien que je vais le mettre sur ma liste, merci, Cappuccinette...
RépondreSupprimerBises, belle journée.
Oho oh, ça donne envie ! Pile le genre de lecture que j'aime pour les vacances !
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